Euro 2016 de Football en 2016, Championnats du Monde de Handball, de Hockey sur Glace, de Surf, de Lutte et de Canoë-Kayak en 2017, Euro de Handball Féminin en 2018, la France s’inscrit comme une nation de 1er rang dans l’organisation d’événements sportifs. Une longue tradition qui va se poursuivre dans les années à venir avec l’organisation de la Coupe du Monde de football féminin en 2019, la Coupe du Monde de rugby en 2023 et l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. 

Référence en matière d’organisation d’événements sportifs, la France brille également par le succès de ses entreprises à l’étranger. A l’occasion des RIGES 2018 (Rencontres Internationales des Grands Evénements Sportifs), le 3 décembre prochain, les entreprises de la Filière Sport seront mises en avant et auront également l’opportunité de comprendre les attentes et besoins des décideurs venus d’Algérie, de la Côte d’Ivoire, d’Egypte, du Maroc et du Sénégal.

RIGES 2018 : le tour du monde des marchés de la Filière Sport

Au programme des RIGES, Claude Paulin Danho, ministre des Sport de Côte d’Ivoire abordera les défis d’aujourd’hui et de demain auxquels l’Afrique est et sera confrontée. Cette intervention sera suivie d’une présentation de l’Asie comme poids lourd sur le marché du sport. Enfin après des témoignages et retours d’expériences sur la Hongrie et le Mexique, Ashraf Sobhy, ministre de la Jeunesse et des Sports d’Egypte présentera les opportunités au Proche et Moyen-Orient.

Après ces trois tables-rondes, Business France récompensera l’entreprise ayant connu le meilleur développement international au cours de l’année 2017 ou 2018. La remise du prix du “Meilleur développement international 2017/2018” sera suivi du lancement de la 3e édition du catalogue TEAM France FOR SPORT, outil de promotion de l’offre française avec 80 entreprises présentes à l’international peuvent mettre en avant leur savoir-faire et leurs références.

Business France vous donne rendez-vous le 3 décembre prochain au 77 boulevard Saint-Jacques, 75014 Paris à partir de 08h00.

29 novembre 2018 ont eu lieu les 3emes Assises Nationales de la Location de Vacances (UNPLV). L’occasion de revenir sur les chiffres présentés par l’INSEE la semaine précédente.

Selon le rapport de l’INSEE publié le 21 novembre, 31 millions de nuits dans des logements loués par des particuliers via internet ont été comptabilisées en 2017. En augmentation de 19% par rapport à l’année précédente, la location de logements touristiques entre particuliers est de plus en plus plébiscitée par les touristes français et étrangers sur l’ensemble du territoire. Selon le rapport, la croissance constatée en Ile-de-France est semblable à celle observée en province (19%). La fréquentation de la clientèle étrangères a progressé de 20%, soit un peu plus que celle des français (18%).

Une enquête menée par Médiamétrie en partenariat avec la FEVAD présente les intentions d’achat des internautes à l’approche des fêtes de fin d’année. 

“Au-delà de la préparation, les français sont toujours plus nombreux à faire leurs courses de Noël sur internet : 80% des cyberacheteurs y feront leurs achats vs 76% l’an dernier. Ils entendent bien profiter encore cette année des opérations promotionnelles de novembre” précise Marc Lolivier, Directeur Général de la FEVAD. De nombreux internautes profitent en effet du Black Friday et du Cyber Monday pour profiter d’offres promotionnelles en amont des soldes d’hiver. 89% des répondants déclaraient vouloir profiter de ces événements pour faire leurs courses de Noël. L’enquête a également montré que les internautes ciblaient principalement les vêtements, chaussures et accessoires de mode durant ces événements promotionnels.

Un budget moyen en baisse

190€, c’est le budget moyen que va consacrer l’internaute à ses achats de Noël en ligne. A l’instar des dépenses moyennes consacrées aux fêtes d’années qui s’élèvent à 269€ et connaissent une légère baisse par rapport à 2017, le budget moyen en ligne connaît lui aussi une légère baisse de 6%. Les cyberacheteurs n’ont pour la majorité pas prévu de dépenser moins que l’année dernière puisque 75% d’entre eux déclarent consacrer un budget identique et 8% ont déjà prévu de dépenser plus cette année.

Des consommateurs en quête de tranquillité

Selon un rapport sur les prévisions d’achats en ligne pour la période des fêtes (de novembre à décembre), publié par Adobe, 51% des consommateurs envisageaient de commencer leurs achats à la mi-novembre. Pour 50% des français ces achats se feront en ligne. Ne pas avoir à se déplacer, avoir un choix plus large de produits, bénéficier de prix moins élevés sont, selon l’enquête Médiamétrie/FEVAB, les raisons des achats en ligne. Plus de la moitié des internautes interrogés déclarent que c’est avant tout pour éviter la foule en magasin qu’ils préfèrent faire leurs achats en ligne.

Retrouvez plus d’information sur le rapport Adobe ici

Retrouvez plus d’information sur l’enquête Médiamétrie/FEVAB ici

Pour la quatrième année consécutive, la RATP déploie sa campagne #FansDesBleues en soutien à l’équipe de France Féminine de Handball. A l’occasion du Championnat d’Europe Féminin qui se tiendra en France du 29 novembre au 16 décembre prochain, la RATP entend cette année encore mobiliser ses voyageurs. 

Une chasse aux maillots sous haute tension !

Chaque jour de match de l’équipe de France, trois maillots seront à gagner sur une ligne du réseau RATP. Pour trouver la station où la récompense attendra patiemment son futur fan des bleues, les voyageurs devront suivre les indices diffusés sur le compte twitter de la RATP et sur les comptes des personnalités associées à la campagne. Le dispositif événementiel déployé sur les lignes franciliennes durant la phase de poule et le premier tour de la compétition sera ensuite prolongé sur les réseaux sociaux pour la phase finale.

Avec 32 maillots à gagner et des places pour les demi-finales et la finale en jeu, la RATP et la Fédération Française de Handball entendent bien rassembler de fervents supporters autour de l’équipe de France Féminine de Handball.

Préfon, SAS de courtage en assurance, signe un partenariat avec la Fédération Française de Handball jusqu’en 2021. L’annonce est survenue à la veille du match d’ouverture de l’Euro de Handball féminin 2018.

Le partenariat, qui s’inscrit dans la stratégie globale de communication de la société, passe par un soutien au développement des activités et de l’image des équipes de France de handball féminine et masculine, seniors et jeunes.

De plus, son engagement auprès des équipes jeunes vient renforcer son envie de créer une véritable proximité avec les jeunes générations en les accompagnant dans la poursuite de l’excellence et dans la préparation d’une étape clé de la vie.

“Nous aurons à coeur de soutenir les équipes nationales de handball et de mettre tout notre dynamisme au service de leur conquête de nouveaux titres dans ce même esprit de proximité qui nous anime depuis notre création à l’égard des services publics” souligne Christian Carrega, Directeur général de Préfon. L’esprit d’équipe, l’entraide et l’engagement sociétal sont des valeurs que la société de courtage souhaite défendre aussi bien auprès de ses 400 000 affiliés que dans la famille du handball.

Le 24 mai dernier la commission européenne a proposé d’inclure le VAE dans le champ de la révision de la directive « assurance automobile » rendant ainsi obligatoire l’assurance pour les utilisateurs de VAE. Depuis, les industriels du cycle s’activent pour faire reconnaitre le caractère non motorisé du VAE.

La Commission européenne a publié le 24 mai une proposition de directive du Parlement européen et du Conseil concernant la révision de l’assurance de la responsabilité civile résultant de l’utilisation de véhicules à moteur. La proposition mentionnée inclut les cycles à assistance électrique dans le champ de la révision et vise à rendre obligatoire une assurance responsabilité civile pour tous les utilisateurs de VAE.

« La commission européenne a une perception erronée du VAE et l’assimile à tort à un véhicule à moteur » décrypte Olivier Mouchebœuf, animateur de la commission cycle & mobilité de l’UNION sport& cycle.

En première ligne sur ce dossier, le CONEBI, la confédération européenne de l’Industrie du Cycle rappelait dès la sortie de ce projet de révision que : « Bien que les cycles assistés électriquement comportent un élément d’assistance électrique, cette assistance est conçue pour compléter plutôt que remplacer la propulsion principale, qui consiste en une énergie musculaire humaine obtenue par pédalage manuel: les VAE fournissent une assistance électrique au cycliste uniquement pendant le pédalage, jusqu’à une vitesse de 25 km / h et d’une puissance maximale de 250W. »

Fin octobre l’affaire semblait s’éclaircir. Un commentaire du rapporteur en charge de la révision de cette directive demandait l’exclusion des vélos électriques de son champ d’application : « Maintenir une telle inclusion par défaut imposerait une couverture coûteuse et excessive de ces véhicules (référence aux vélos électriques). Une telle situation compromettrait également l’utilisation de ces véhicules et découragerait l’innovation bien qu’il ne soit pas suffisamment prouvé que ces véhicules pourraient causer des accidents avec des blessés de la même ampleur que d’autres véhicules tels que des voitures ou des camions ».  

Pour Olivier Mouchebœuf de l’USC, ce problème de qualification du VAE en véhicule à moteur n’est pas récent et doit être mis en lien direct avec la question du débridage. « Les pratiques illicites de débridage des VAE encore trop souvent constatées, que ce soit avec l’aide d’un professionnel ou pas, créent une véritable confusion dans l’esprit des décideurs locaux – comme on l’a vu dans le Vercors – mais également européens. Les professionnels doivent donc être conscients des risques qui pèsent sur le développement du VAE du fait de ces pratiques clairement néfastes pour notre marché. »

La loi du 26 janvier 2016 concernant la modernisation de notre système de santé impliquait une prise en compte des activités physiques et sportives dans les politiques publiques. Un arrêté publié le 8 novembre 2018 établi une liste des certifications fédérales autorisant la dispensation d’une activité physique adaptée sur prescription médicale. 

Dans le cadre de cette loi, deux dispositions avaient été développées :

• le bénéfice de l’activité physique et sportive dans la prévention de pathologies, de traumatisme et de la perte d’autonomie
• la possibilité pour les médecins traitants de prescrire une activité physique adaptée aux patients souffrant d’une affection de longue durée (ALD). Cette disposition permettait également aux professionnels de la santé et du sport d’intervenir dans ce cadre.

Que dit l’arrêté du 8 novembre 2018 ?

Les éducateurs sportifs seront maintenant en mesure de dispenser une activité physique adaptée aux patients en ALD. Cet arrêté ne s’applique cependant pas aux patients présentant des limitations fonctionnelles ou des limitations fonctionnelles minimes.

L’arrêté liste 22 diplômes fédéraux autorisant leurs titulaires à encadrer une activité physique adaptée. Cette liste pourra être amenée à évoluer et d’autres arrêtés définiront prochainement la liste des éducateurs pouvant dispenser une activité physique adaptée. Cette liste concernera notamment les titulaires d’un certificat de qualification professionnelle.

Des freins encore nombreux

Cet arrêté permet ainsi de structurer le déploiement de l’activité physique sur prescription médicale. Cependant, les freins à l’activité physique sur ordonnance restent nombreux. Dans un article daté du 14 novembre dernier, le journal Le Monde révélait que ” Sur 457 médecins sollicités par mail ayant suivi une formation à la prescription d’activité physique à l’IRBMS, 158 ont répondu au questionnaire. S’ils se sentent majoritairement aptes à prescrire de l’activité physique – et presque tous (86 %) convaincus des bienfaits –, 46 % n’en ont pas prescrit, et seulement 6 % à 13 % en ont prescrit (respectivement plus de 10 fois et entre 6 et 10 fois). La majorité (60 %) disent « ne pas être suffisamment avertis sur les bonnes consignes de prescription ». Ils indiquent en outre que les patients sont peu demandeurs, plus de la moitié ont refusé en raison du non-remboursement.”

Le sujet de la prise en charge par l’Assurance Maladie du sport sur ordonnance est un des nombreux dossiers portés par les acteurs de la filière de l’économie du sport pour que l’activité physique et sportive prenne toute sa place dans une politique ambitieuse de santé publique en France.

Retrouvez l’intégralité de l’arrêté du 8 novembre 2018 ici

De la neige tombée à point nommé, une météo idéale avec un grand soleil et aucune bribe de vent, les conditions étaient optimales à Val d’Isère pour le premier week-end du Ski Force qui a rassemblé près de 2000 personnes pour 4000 tests de ski réalisés sur les deux jours.

Organisé dans le cadre de Première Trace, le week-end d’ouverture de la station, le Ski Force est une opération grand public organisée par les marques de ski de l’UNION sport & cycle dont l’objectif est de faire tester les nouvelles gammes de ski en ouverture de saison et stimuler ainsi les achats de matériel.

Cette année, le Ski Force expérimentait également une nouvelle opération « Bring a friend » dont l’objectif était d’inciter les testeurs à venir accompagnés de leurs proches non pratiquants pour qu’ils profitent de l’événement pour apprendre à skier gratuitement.

Les prochaines étapes du Ski Force :

• Les 01 & 02 décembre à l’Alpe d’Huez
• Les 14 & 15 décembre à Avoriaz