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Dominique Mahé (Maif) : “Notre stratégie sportive est axée sur les partenariats qui ont du sens”

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Dominique Mahé, PDG de la Maif

Partenaire majeur de la Fédération française de Basket-Ball (FFBB), la Maif a donné son nom à l’Open de la Ligue féminine de basket-ball, qui fera vibrer le Stade Pierre de Coubertin de Paris, ces samedi et dimanche 13 et 14 octobre 2018. A cette occasion, Filièresport publie une interview de Dominique Mahé, président de la Maif, sur les raisons de l’engagement de l’assureur aux côtés du basket et du sport français.

Olivier Costil – Pourquoi la Maif a-t-elle voulu être partenaire de la FFBB ?

Dominique Mahe – La stratégie sportive du groupe Maif est résolument axée sur l’assurance et les partenariats qui ont du sens, qui sont porteurs de certaines thématiques d’actions éducatives, de soutien à la pratique sportive, de santé, de bénévolat, d’intégration dans la société, etc. La fédération de basket est la deuxième dans les sports collectifs en France, avec plus de 600 000 licenciés et 4 500 clubs, elle bénéficie d’une bonne visibilité médiatique tout en agissant pour le développement de la pratique dans les quartiers et les territoires et en faveur du sport pour tous et de la cohésion sociale. Le 3×3 en est un exemple édifiant, comme activité qui se joue au pied des immeubles entre copains… et qui est devenue discipline olympique dans la perspective des Jeux de Tokyo !

Jean-Pierre Siutat (FFBB) et Dominique Mahe (Maif)

Qui a été à l’origine de ce partenariat, la Maif ou la FBB ?

Ce sont des contacts entre Jean-Pierre Siutat et moi-même qui ont été à l’origine de notre partenariat. Le feeling est bien passé entre nous. Je pense qu’il est important pour la réussite d’un partenariat que les dirigeants partagent les mêmes valeurs.

 

« Nous assurons 40 000 associations sportives en France »

 

Avant d’évoquer les valeurs, attardons-nous un peu sur le volet « image ». Quel est son incidence sur votre choix de signer avec la FFBB ?

Le volet image est important dans la mesure où il se matérialise par le nommage du maillot de l’équipe de France. Mais à l’inverse, cela ne suffit pas à justifier le partenariat. La Maif est reconnue comme un assureur de qualité, nous voulons marquer davantage notre présence, pour ne pas dire notre prégnance, sur le marché du sport. Nos partenariats sportifs ont pour objet de servir notre stratégie sur cette cible : nous sommes le premier assureur des associations en France avec 150 000 associations assurées, dont 40 000 sportives. Nous sommes assureur de nombreuses fédérations, le basket est un levier de visibilité pour devenir un grand assureur des ligues, clubs, associations, pratiquants et bénévoles.

Au delà de la visibilité, que recouvre précisément votre partenariat ?

C’est un partenariat porteur d’actions en faveur du basket féminin avec le nommage de l’Open de la Ligue féminine et en faveur du développement du 3×3, où nous participons aux Trophées français, une compétition qui ouvre les portes des épreuves internationales aux équipes gagnantes. Dans le registre des actions citoyennes, notre partenariat soutiendra les initiatives des clubs dans le cadre d’un programme fédéral en trois volets : solidarité, fair-play et intégration. Par ailleurs, nous incitons au développement du bénévolat dans le basket à travers nos agences et relais sur le territoire et notre plateforme expérimentale « Bénévoles », qui met en relation les clubs et les volontaires…

Quel est le budget de ce partenariat ?

C’est un budget… raisonnable (rire) ! Il est nettement inférieur à 1 million d’euros. Il est de ma responsabilité d’être attentif au bon usage de l’argent de nos trois millions de sociétaires. Nos partenariats sportifs doivent nous apporter des gains de notoriété supplémentaires que nous mesurons par des enquêtes. De plus, nous nous engageons uniquement auprès de fédérations que nous assurons. Dans le sport et les activités physiques, nous intervenons sur trois niveaux. En premier lieu, nous soutenons les fédérations du sport scolaire et universitaire, sous forme de partenariats « socles », qui ont été un peu à l’origine de la Maif, avec l’Usep, l’UNSS et la FFSU. Ensuite, nous avons des partenariats avec les fédérations olympiques et avec des fédérations qui œuvrent pour le sport pour tous et le sport santé bien-être, comme la fédération de gymnastique volontaire. Enfin, nous avons ainsi été le premier assureur à créer, en 2016, pour nos sociétaires atteints d’affections de longue durée, une garantie sport santé sur ordonnance. Celle-ci est gratuite.

« Nous avons été les premiers à proposer une garantie sport santé sur ordonnance »

Combien de sociétaires ont mis en œuvre cette garantie sport sur ordonnance ?

Cela reste modeste et c’est tant mieux pour la santé de nos sociétaires, je dirais à peu près un millier de patients. Cette garantie est opérée par la Mutuelle des Sportifs mais nous étudions aujourd’hui la possibilité de la gérer nous-même. Certes, nous ne sommes pas une mutuelle de santé mais d’assurance des personnes mais la tendance dans le monde de l’assurance est à la diversification vers ce qu’on appelle – en bon français – le « care », la prévention. Le sport bien-être est donc un volet de notre activité que nous regardons aussi.

Que faudrait-il faire pour que le sport sur ordonnance décolle réellement en France ?

Les opérateurs doivent davantage donner cette possibilité à leurs assurés, les réseaux médicaux être plus porteurs et l’État a un rôle à jouer. Il le fait d’ailleurs fait avec le projet de Maisons du Sport Santé, porté du ministère des Sports et dont j’espère qu’il trouvera son contenu avec la ministre Roxana Maracineanu. Le sport santé fait partie de l’Héritage de Paris 2024.

Quelle enveloppe globale consacrez-vous à votre politique sportive ?

Elle est difficile à chiffrer puisqu’au coût des partenariats proprement dit, il faut ajouter les coûts d’activation, le personnel mobilisé, les éléments de communication, etc. Globalement, l’enveloppe se situe en dessous de 5 millions d’euros, à rapporter à un chiffre d’affaires de 3 milliards d’euros.

Avez-vous atteint le Graal avec la FFBB ou préparez vous d’autres partenariats sportifs ?

Nous avons acté en un an des partenariats avec la fédération d’athlétisme, la fédération de volley, la fédération de basket… Donnons leur maintenant pleine et belle vie, ainsi qu’aux nombreux autres qui leur préexistaient, avant d’explorer d’autres pistes. Etre trop multipartenaires risquerait de diluer notre image.

En conclusion, pouvez résumer en une phrase la politique de partenariats sportifs de la Maif ?

L’éthique produit de la performance. L’un ne va pas sans l’autre, c’est évident dans le sport comme dans les autres domaines !

Propos recueillis par Olivier Costil


Le numéro deux de la Mountain Bikers Foundation en devient le président

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Lionel Macaluso et Raymond Cheminal

L’association Moutain Bikers Foundation (MBF-France), qui promeut “la pratique d’un VTT durable et responsable” depuis dix ans, a porté à sa présidence Raymond Cheminal, jusqu’alors vice-président, qui succède à Lionel Macaluso, qui se retire pour raisons personnelles.


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À la Skiforce Académie, les marques offrent aux skimans une “master class” d’entrée de saison

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Skiforce, le rendez-vous test des nouveautés ski par le grand public, organisé chaque début de saison hivernale par l’Union sport & cycle, se double à partir de cette année d’un volet “formation” dédié aux professionnels, Ski Force Académie.

Du 4 au 7 décembre 2018, les marques de ski  participantes accueilleront les magasins dans leurs showrooms pour des sessions de formations concentrées (1h30) sur leurs collections de matériel de l’hiver 2018-19. Les marques pourront ainsi former collectivement les vendeurs et skimen sur les différentes gammes et technologies qu’elles proposent à la vente ou en location. Et les équipes des magasins de ski bénéficieront d’une formation mutualisée, leur permettant de gagner en temps et en efficacité. L’organisme de formation CNPC  a également souhaité s’associer à la Ski Force Académie en proposant chaque matin une session sur « les fondamentaux du ski » pour les collaborateurs ayant besoins d’une (re)mise à niveau avant de suivre les formations des marques.

La Ski Force Académie en bref

Lieux et dates

· Albertville les 4 & 5 décembre 2018
· Annecy les 6 & 7 décembre 2018

Marques participantes

Armada, Atomic, Blizzard/Tecnica, Dahu, Dynafit, Dynastar, Fischer, Head, Kaestle,  Movement, Nordica, Rossignol, Salomon, Scott, Elan, Volkl & Zag

Bollé Brands, nouvelle holding de Bollé, Serengeti et Cébé

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Le nouveau casque Bollé Messenger Hi-Vis à Led pour un usage urbain

Dans la foulée de sa récente acquisition des marques Bollé, Bollé Safety, Serengeti et Cébé auprès du groupe Vista Outdoor, A&M Capital annonce la création d’une nouvelle société holding regroupant toutes ces marques sous le nom de Bollé Brands.

Le nom Bollé Brands est dérivé de Bollé, marque spécialisée dans la création de lunettes de protection, de solaires et de casques. La marque représente la plus grosse part du chiffre d’affaires de la holding dans le monde, et ses fonctions support soutiennent également les activités des marques Serengeti et Cébé. Dans les semaines à venir, ce nouveau nom de société entrera en vigueur dans toutes les entités commerciales de la holding. Quant au siège de Bollé Brands, il restera en France, pays dans lequel la marque Bollé est basée depuis 1888.

Un nouveau directeur général

Bollé Brands est une société spécialisée dans la création de lunettes et de casques, soucieuse d’investir pour développer l’activité de toutes ses marques. Cette holding aura pour directeur général Peter Smith. Ce dernier était précédemment à la tête de Musto, où il est parvenu à améliorer les performances dans tous les domaines d’activité de l’entreprise, et a travaillé avant cela pour des marques telles que Nike, Reebok, Lacoste, Berghaus ou encore Paul Smith. Des contrats de services transitoires ont été conclus avec Vista Outdoor à tous les niveaux. Durant cette période, les contacts au sein des entités commerciales restent inchangés.

Asics ouvre son premier magasin franchisé européen

Les territoires et la collégialité au cœur de la réforme du sport

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Remis ce mardi 16 octobre 2018 au comité de pilotage présidé par la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, le rapport sur la nouvelle gouvernance du sport dessine un nouveau modèle à deux niveaux : national et territorial.

Elaboré par Laurence Lefèvre, directrice de cabinet au ministère des Sports, et par Patrick Bayeux, docteur en sciences de gestion, ce rapport est issu d’une large concertation, qui s’est déroulée du 30 janvier au 10 juillet 2018 avec six séminaires mobilisant plus de 500 personnes et une consultation numérique. Il a abouti à la formulation de 57 propositions pour une nouvelle gouvernance du sport en France qui composent une nouvelle architecture du sport à deux niveaux : un échelon national et un niveau territorial.

Le monde économique inclus dans la gouvernance

Au niveau national, une agence unique « d’appui, de financement et d’évaluation » sera créée pour exercer trois missions : la haute performance, le développement des pratiques et le financement des actions et investissements portés par les territoires. Cette agence prendrait la forme d’un Groupement d’intérêt public – structure permettant d’associer le public et le privé – formée de quatre collèges : l’État, le mouvement sportif, les collectivités et le monde économique, qui aurait ainsi droit de cité dans la gouvernance du sport. Le rapport ne mentionne pas le poids de chaque collège mais selon certaines sources, la répartition donnerait des parts égales aux trois premiers et une part plus faible, de l’ordre de 10 %, aux entreprises. Côté financement, sujet qui a mobilisé le monde sportif ces dernières semaines, le rapport désigne les taxes affectées, c’est-à-dire « dans un premier temps, les taxes du CNDS » et les crédits du ministère des Sports, « en particulier pour financer les fédérations », et des financements privés.

Projet harmonisé et guichet unique à l’échelon local

Si l’opinion s’est focalisée, depuis la clôture des travaux de concertations le 10 juillet dernier, sur l’agence nationale, c’est au niveau des territoires que se situent les plus grandes innovations. Deux nouvelles institutions vont en effet être créées, d’une part les « Parlements du sport », chargés d’élaborer un projet sportif partagé à l’échelle des différentes territoires. Et les Conférences des financeurs, où seront représentés l’État, les régions, les départements « et des représentants du bloc communal ». Celles-ci auront pour mission d’organiser les financements dans quatre domaines : le haut niveau, le sport professionnel, les équipements structurants et l’accès à la pratique (réduction des inégalités et politiques émergentes). Ces conférences des financeurs – qui existent déjà dans un secteur comme celui de la Santé, par exemple – deviendraient le « guichet unique » pour les acteurs du sport en quête de subventions… Les compétences de chaque niveau territorial ne sont pas précisées, les collectivités préférant établir leurs champs de compétences respectifs au cas par cas.

Un nouveau modèle à préciser

Dernier grande ambition du projet, celui-ci entend faciliter la modernisation du mouvement sportif en lui donnant plus d’autonomie, ce qui passe par la suppression de la tutelle de l’Etat sur les fédérations, la possibilité pour celles-ci de rémunérer leurs dirigeants et d’adopter un statut de société coopérative, le recentrage des formations sur la sécurité du pratiquant et la possibilité d’alimenter un compte d’engagement citoyen pour les bénévoles. En redéfinissant les rôles respectifs du ministère des Sports, du mouvement sportif et des collectivités territoriales, ce  projet, soutenu dans ces grandes lignes par l’ensemble des parties prenantes, vise à donner plus de cohérence et d’efficacité aux politiques sportives, du haut niveau au sport pour tous… De nombreuses précisions devront cependant être apportées pour passer du schéma à sa mise en œuvre, notamment en termes de financement mais aussi de répartition des compétences et missions entre les différents acteurs. C’est pourquoi la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, la nouvelle ministre des Sports, a d’ores et déjà annoncé, qu’elle prendrait « le temps nécessaire d’échanger avec l’ensemble des acteurs du sport avant de présenter le modèle définitif de gouvernance qui fera consensus pour rénover le modèle du sport français ».

Pour en savoir plus :

Cliquez ici pour lire la synthèse du rapport

Cliquez ici pour lire le rapport en entier

Cliquer ici pour lire les annexes (conclusions des commissions)

La Caisse d’Épargne, pivot de la FFHandball jusqu’en 2024

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La Caisse d’Épargne et la Fédération française de handball ont annoncé le renouvellement de leur partenariat jusqu’en 2024, à l’occasion du Match des Légendes qui se déroulait lundi 15 octobre 2018 à la Maison du Handball, dans le cadre des célébrations du bicentenaire Caisse d’Épargne.

La FFHandball est l’une des fédérations sportives les plus dynamiques avec aujourd’hui 2 400 clubs sur l’ensemble du territoire français et 549 000 licenciés. Ses deux équipes seniors totalisent à elles seules 8 titres mondiaux et 2 titres olympiques. Déjà partenaire du Championnat du monde masculin 2017 en France suivi par plusieurs centaines de milliers de spectateurs et plus de 12 millions de téléspectateurs, la Caisse d’Épargne accompagne également le handball féminin en tant que partenaire de l’EHF Euro qui se réunira les meilleures équipes féminines d’Europe du 29 novembre au 16 décembre 2018 dans cinq villes françaises (Brest, Montbéliard, Nancy, Nantes et Paris), au plus proche du public et de ses clients.

Une durée inédite

« La Caisse d’Épargne est heureuse de renouveler son engagement avec la Fédération française de handball pour une durée inédite de six ans. Elle accompagnera toutes les équipes de France de handball jusqu’aux Jeux olympiques de Paris », communique Laurent Roubin, directeur général en charge de la Banque de proximité et Assurances du Groupe BPCE. « Cela nous permettra de renforcer nos actions communes sur l’ensemble du territoire mais aussi de poursuivre, par exemple, notre dispositif d’accompagnement des handballeurs de haut niveau », complète Joël Delplanque, Président de la Fédération française de handball. Les Caisses d’Épargne, qui font partie du Groupe BPCE, 2ème entreprise bancaire de France, soutiennent également trois ligues régionales et 23 clubs parmi les plus titrés d’Europe. Elles s’engagent également pour l’avenir des handballeurs de haut niveau en proposant un dispositif destiné à les accompagner dans leur seconde carrière.

Le Trophée des Légendes : Bleus de 1998 contre Barjots de 2008

David Douillet, poids lourd du nouveau fonds d’investissement Linksport

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La société de capital investissement 123 IM lance LinkSport, un fonds dédié au sport-santé bien-être et nomme David Douillet, double champion olympique de judo et ancien ministre des Sports, à la présidence de son comité stratégique.

Ce comité est composé d’entrepreneurs du sport professionnel, du marketing sportif, de la diffusion, de l’événementiel ou encore de la distribution. LinkSport investira essentiellement dans le cadre d’opérations de capital-développement et plus marginalement en capital-transmission et capital-risque. LinkSport vise une levée de fonds de l’ordre de 30 millions d’euros et a pour objectif de constituer un portefeuille composé de 8 à 12 sociétés. « Nous avons démontré sur les 10 dernières années notre capacité à investir les capitaux rapidement, sous deux ans maximum. LinkSport accompagnera les sociétés de son portefeuille durant 5 à 6 ans, afin d’offrir une liquidité aux investisseurs à horizon raisonnable », annonce Johann Devaux, gérant de Linksport. Le fonds vise la réalisation d’un taux de retour sur investissement brut de 12 % à 15 % à l’échéance.

Soutien financier à l’association Sport dans la Ville

LinkSport financera par ailleurs l’association Sport dans la Ville afin de contribuer au développement du sport en tant que facteur d’intégration. « Cet engagement consistera à reverser une partie des frais de gestion du fonds à cette association. Cela constituait pour nous une évidence afin de respecter l’esprit du sport qui se veut bien plus qu’une activité physique ou un loisir ; c’est un facteur d’intégration et de lien social » précise Xavier Anthonioz, président du directoire de 123 IM. Selon les gestionnaires du fonds l’effet d’entraînement des grands événéments sportifs internationaux programmés en France, ainsi que sur le développement du sport santé et des nouvelles pratiques créeront de nouvelles opportunités d’investissement. « Le sport mobilise plus que jamais toutes les énergies et tient une place à part entière dans notre pays et dans le quotidien de millions de Français. (…) Les entreprises du secteur du sport sont les premières à bénéficier de cet engouement et d’une demande en augmentation », explique David Douillet. 123 IM est une société de gestion indépendante spécialisée dans le capital-investissement, la dette privée et l’immobilier, qui 1,3 milliard d’euros d’actifs et dispose d’un portefeuille de 108 participations.


Namedsport veut se faire un nom sur le Tour

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Le classement par équipes du Tour de France sera parrainé par l’entreprise italienne de nutrition Namedsport à partir de 2019.

Spécialisée dans les produits énergétiques à destination des sportifs, Namedsport s’engage dans un premier temps pour une période de cinq ans, avec la volonté de s’inscrire activement dans le dispositif de ravitaillement et sur les zones de collecte. Déjà impliquée dans les pelotons depuis plusieurs années, auprès notamment de Vincenzo Nibali, et sur de nombreuses courses d’envergure, Namedsport franchit ainsi un nouveau palier. La marque de aposera son logo sur les dossards des coureurs en tête du classement par équipes lors de chacune des 21 étapes et sera représentée au sein de la caravane publicitaire, pour faire découvrir son complément hydrosalin Hydrafit.  En plus de son association avec le Tour de France, Namedsport annonce un partenariat avec les grandes classiques que sont Paris-Roubaix, Paris-Nice et le Critérium du Dauphiné. Un portefeuille français qui vient compléter les accords de sponsoring existants avec la Volta a Catalunya, du Tour de Yorkshire et du Tour d’Espagne.

Le Club des Partenaires de la fédération de ski nautique accueille Sportihome

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La plateforme de location de logements entre sportifs Sportihome  et la Fédération française de Ski nautique et de Wakeboard (FFSNW) ont signé un accord de partenariat.

Sportihome devient ainsi membre du « Club des Partenaires » de la fédération pour les trois prochaines années. La marque sera présente sur plusieurs événements de la fédération, dont les Championnats de France Wakeboard & Wakeskate Câble, la Coupe de France de Wakeboard Câble et la remise des prix des « Athlètes FFSNW de l’année », qui se déroule lors du Salon Nautique de Paris. En complément, tous les membres actifs de la Fédération pourront bénéficier de 10% de réduction sur la plate-forme de logement et ainsi découvrir de nouveaux spots. Patrice Martin, président de la FFSNW, souligne l’intérêt de cet accord « avec une société française novatrice, qui facilite la pratique sportive en proposant des logements à proximité des sites de pratiques » et qui, en tant que membre du Club des Partenaires, « renforce l’offre de la fédération pour ses membres. » Le site recense à ce jour plus de 4 200 logements dans 22 pays.

Bouticycle ouvre son 24è magasin à Nice

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Simon et Fabrice Sobolewski, franchisés Bouticycle Nice

Situé en plein centre-ville, rue de France (en parallèle de la promenade des Anglais), le Bouticycle niçois est exploité par un duo père-fils, enthousiaste et passionné, constitué de Fabrice et Simon Sobolewski.

Originaire de Paris, Fabrice, qui a suivi une formation de plusieurs mois auprès de l’enseigne du groupe Cyclelab, , complémentaire à son expérience professionnelle, assurera la partie gestion et management. Quant à son fils Simon, fort de son expérience  terrain dans plusieurs magasins parisiens et de ses compétences techniques sur le matériel, il assurera le volet conseil et vente.

Corps et Sport, l’expo qui fait bouger

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Ouverte mardi 16 octobre 2018, l’exposition Corps et Sport se tient à la Cité des Sciences de La Villette (Paris) jusqu’au 5 janvier 2020. Un événement unique en son genre, qui souligne la place considérable du sport dans nos société tout en permettant de passer à la pratique.

L’exposition est organisée en deux parties, l’une consacrée aux ateliers sportifs (gestes techniques, entraînement fonctionnel, pratique du football, de l’escalade, du biathlon, de la boxe et du tennis), l’autre consacrée au sport dans la société d’aujourd’hui. Dans la première, les visiteurs peuvent ainsi tester leurs performances sur des tapis équipés de capteurs, des sacs de frappe connectés, une plateforme de force… Tandis que la seconde partie intègre de nombreux dispositifs ludiques… À partir de sept ans.

Ski-chic s’allie à Intersport

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Lancé l’an dernier sur six stations des Alpes, le service de location de vêtements de sports d’hiver livrés sur le site de séjour de client, Ski-chic.com, étend son rayon d’action sur la saison d’hiver 2018-2019 et a conclu un partenariat commercial avec l’enseigne Intersport.

Ski-chic et Intersport-rent, le service de location en ligne des magasins Intersport, proposent en effet une offre couplée  (par exemple, la location d’un pack ski-chaussures + tenue complète pour une semaine, moyennant 207,90 à 275,90 €) et des avantages promotionnels croisés à leurs clients respectifs. L’offre est valable dans les zones de desserte de Ski-chic, qui sont passées de six stations l’an dernier à 35 cette année (voir carte ci-dessous). Le site propose des vestes, pantalons et masques et gants homme, femme et enfant de huit grandes marques (Fusalp, Salomon, Peak Performance, Poivre Blanc, Quiksilver, Roxy en vêtements, Bollé pour les masques et Reusch pour les gants) à la location pour une durée qui peut être comprise entre 2 et 15 jours. Il s’agit là d’une amélioration du service par rapport à l’an dernier, où seule la location pour six jours était possible. Soucieux de préserver son avance sur un marché où des concurrents commencent à apparaître – mais plutôt sous forme de boutiques en station, semble-t-il – Ski-chic ne communique pas de chiffre. Jordan Valentin, directeur général de la start-up, affirme toutefois que la première saison a permis de « valider le modèle, à la fois en termes de capacité à tenir nos engagements (réservation en ligne, livraison sur place et sur rendez-vous) où nous obtenons d’excellents scores de satisfaction client et en termes de clientèles : nos typologies de consommateurs sont très diverses. Cela va de la famille picarde à l’étudiante parisienne avec des motivations variées : moins de bagage, tenir son budget, rester à la mode…  » Pour accompagner l’extension du service, Ski-chic a a doublé le nombre de ses livreurs, qui seront une dizaine pour l’hiver 2018-2019.

 

Le plan vélo et les nouveaux véhicules électriques individuels en débat au Sénat

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La délégation à la prospective du Sénat, qui publiera, le 8 novembre 2018 un rapport sur les mobilités de demain a demandé à l’Ademe d’organiser une conférence sur le sujet, le 10 octobre dernier. Les enjeux du plan vélo de la future Loi d’orientation sur les mobilités (Lom) étaient au cœur des débats.

« Ce qui nous intéresse, c’est l’impact sur les territoires et sur l’égalité devant les mobilités de demain », a expliqué en introduction le sénateur Olivier Jacquin, un des coauteurs du rapport, ajoutant que celui-ci arrivera « à un moment important, puisque la future Loi d’orientation sur les mobilités (Lom) doit être prochainement examinée. » Le futur rapport et la conférence s’inscrivent en effet dans un contexte favorable en termes politique, après le plan vélo annoncé en septembre dernier par le Premier ministre, appelé à être intégré dans la loi Lom ; technique, en raison du boum du vélo à assistance électrique (VAE) et des nouveaux véhicules électriques individuels (NVEI : trottinettes électriques, monoroues, overboards…) ; et culturel, du fait du retour en grâce de l’usage du vélo, « notamment grâce aux développements numériques », selon Elodie Trauchessec, animatrice « Mobilités » à l’Ademe.

Les promesses du plan vélo

Abandonné au profit de la voiture dans les années 70, le vélo regagne aujourd’hui ses lettres de noblesse « comme moyen de locomotion, explique Virgile Caillet, délégué général de l’Union sport & cycle. C’est une tendance de fond portée par trois préoccupations majeures : la santé, l’écologie et l’efficacité (se déplacer plus vite à moindre coût). Soutenue par la montée en puissance des VAE, cette mobilité active se diversifie avec, demain, le développement des vélos cargos et utilitaires. Quant aux NVEI, ils sont très intéressants dans une logique d’intermodalité. » Pour l’heure, nuance toutefois Yann Trémeac, chef adjoint du service Transports et Mobilités à l’Ademe, les nouveaux usages connaissent « une croissance modérée : 3 % des Français pratiquent le covoiturage – qui a doublé par rapport à 2014 mais reste émergent sur courte distance – et 6 % la glisse urbaine (trottinettes, NVEI…). Le vélo, avec 23 % d’usagers, est plus ancré dans les pratiques. Mais la voiture reste en France le mode prépondérant de déplacement. » Pour Olivier Schneider, président de la Fédération des usagers de la bicyclette, changer de paradigme est « une question de volonté politique. Avec le plan vélo, on arrive à un point de bascule. Bien sûr, nous resterons très vigilants sur la conversion de ces intentions en actes. » L’extension de l’indemnité kilométrique vélo, l’affectation d’un budget de 350 millions d’euros sur sept ans aux infrastructures, l’apprentissage du vélo à l’école et le marquage antivol des cycles sont à ses yeux les mesures clés de ce plan.

La question des nouveaux engins électriques

Outre la concrétisation du plan vélo, « il va falloir que la loi Lom dise un peu comment on partage la voirie. Gyropodes, overboards, monoroues, trottinettes… En tant que piétonne, ces engins me font peur. Comment faire cohabiter l’ensemble pour qu’il n’y en ait pas un qui prenne le pas sur l’autre ? », interroge la sénatrice Michèle Vullien, rapporteure de la délégation à le prospective. Les trottinettes électriques sont ainsi « un ovni juridique qui ne peut circuler ni sur la voie publique ni sur le trottoir : la loi devra trancher », renchérit Charles-Eric Lemaignen, premier vice-président de l’Assemblée des communautés (de communes) de France. L’association sécurité routière demande que les NVEI « soient assimilés aux cycles en ce qui concerne l’usage des voies de circulation », explique sa déléguée générale, Anne Lavaud, qui appelle par ailleurs à ne pas regarder les NVEI « uniquement avec un imaginaire de centre-ville. Un jour peut-être, des gens feront 10 ou 15 kilomètres en trottinette électrique sur une route départementale pas du tout prévue pour. Les nouveaux modes de déplacements vont devenir une alternative de mobilité en milieu rural ou périurbain, avec de nouveaux risques. »

Le casse-tête périurbain

Il existe en effet plusieurs fractures territoriales. La première qui vient à l’esprit sépare les grandes métropoles et le monde rural. « La multimodalité et l’intermodalité sont la norme dans les grandes aires urbaines mais restent minoritaires à l’échelle du territoire global. Une personne sur cinq en zone moins dense déclare avoir le choix du mode de transport, 64 % dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants », souligne ainsi Yann Treméac, pour qui « on peut structurer de nouvelles offres dans les zones les moins denses. » Mais l’autre fracture se produit au sein même des grandes agglomérations, entre la ville centre et ses banlieues. Ainsi selon Charles-Eric Lemaignen, premier vice-président de l’Assemblée des Communautés de Communes de France, « le nœud de nos difficultés, c’est le périurbain », où l’intermodalité est plus complexe à mettre en œuvre que dans le cœur des villes historiques. La réponse passera par l’innovation en termes d’équipements (speed bikes pour les zones moins dense par exemple) et de services (vélo-partage, etc.). « Aujourd’hui, une quantité d’entreprises dans le transport péri-urbain apportent de véritables économies d’échelle. Le free-floating, si on arrive à en pallier les inconvénient, en est un », souligne ainsi l’élu. Des évolutions qui appellent à une meilleure cohérence des politiques de mobilité : « le niveau national est indispensable mais le plus important est local. Il nous reste à construire un vrai plan vélo à plusieurs échelles », explique Fabienne Keller, sénatrice et ex-maire de ville de Strasbourg, ville exemplaire en termes de mobilités. Pour aider les collectivités face à ces enjeux, l’Ademe a lancé deux appels à projets. L’un accompagnera l’expérimentation de nouvelles solutions de mobilité dans les territoires peu dense, l’autre soutiendra la rédaction de schémas directeur vélo, le développement de services vélo et la mise en place de savoir-faire en matière d’ingénierie territoriale vélo…

Cliquez ici pour regarder la totalité de la conférence sur le site du Sénat

Go Sport négocie la vente de Courir à Equistone

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Le groupe Rallye annonce que sa filiale Groupe Go Sport, détenue à 100%, a reçu ce 22 octobre 2018 une offre ferme du fonds Equistone Partners Europe pour l’acquisition de la totalité des activités de Courir.

Le montant de cette offre s’élève à 283 millions d’euros pour les titres. Dans ce contexte, Groupe Go Sport est entré en discussion exclusive avec Equistone Partners Europe ce jour. La conclusion de ce projet est soumise à la consultation des instances représentatives du personnel de Groupe Go Sport et à l’approbation de l’opération par les autorités de concurrence compétentes. La finalisation de l’opération pourrait intervenir dans le courant du premier semestre 2019.

Près de 250 magasins

Filiale de Rallye, Groupe Go Sport est l’actionnaire de Go Sport France et de Courir France. Avec 248 magasins en France (dont 58 sous contrat d’affiliation) et 30 à l’international (dont 2 en Espagne), l’enseigne Courir est spécialisée dans les chaussures de sport et sneaker en France, avec une forte pénétration sur la cible des femmes et les 15-25 ans. Un positionnement plus proche de la mode que du sport, alors que les grandes surfaces Go Sport se redéploient sur un assortiment de multispécialiste technique qui l’a notamment mené à s’alllier la chaîne de franchise Endurance Shop sur le segment du running.

Un spécialiste des changements d’actionnaires

Equistone est une société d’investissement indépendante détenue et gérée par son équipe de management. La stratégie d’Equistone, qui se concentre sur les changements actionnariaux, est d’investir entre 30 millions d’euros et 150 millions d’euros en fonds propres dans des entreprises d’une valeur comprise entre 50 millions d’euros et 500 millions d’euros. Equistone, qui est notammé présent chez Bruneau, Gerflor, Maisons du Monde, Interflora, le Groupe Zannier et Retif, investit actuellement son sixième fonds dont le tour de table a été finalisé, en mars 2018, au plus haut de la fourchette-cible de 2,8 milliards d’euros.


Coopération renforcée entre la Fesi et la Fedas

La Haute Autorité de Santé publie un guide de la prescription médicale d’activités physiques

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Constatant que les freins à la prescription médicale de l’activité physique restent nombreux et puissants, la Haute Autorité de Santé (HAS) vient de publier un guide intitulé « Promotion, consultation et prescription d’activité physique et sportive pour la santé » à l’intention des médecins.

Si le « sport sur ordonnance  » est entré dans la loi depuis deux ans, sa mise en oeuvre reste balbutiante. On sait ainsi que les médecins « sont encore mal informés de l’impact réel de l’activité physique sur la santé, notamment chez les patients atteints d’une pathologie chronique. D’autre part, ils disposent de peu d’outils pratiques pour les aider à mener une consultation médicale centrée sur l’activité physique. De plus, ils s’interrogent ou craignent les risques d’évènements cardiovasculaires graves liés à l’activité physique pour leurs patients atteints d’une ou plusieurs maladies chroniques ou âgés. Le manque de temps en consultation pour aborder ce sujet et le manque de structuration du parcours de santé autour de cette prescription d’activité physique sont également souvent mis en avant par les médecins », liste ainsi la HAS.

Celle-ci a donc réalisé un guide qui propose :

  • un socle de connaissances générales sur l’activité physique et la sédentarité et leurs impacts sur la santé ;
  • le déroulé d’une consultation dédiée à l’activité physique ;
  • des outils pratiques (un questionnaire d’aptitude à l’activité physique, une grille d’évaluation du risque d’évènements cardiovasculaire graves liés à l’exercice, des outils d’évaluation de la condition physique et de l’état de motivation en cabinet, etc.).

En complément de ce document, la HAS propose une première série de 6 référentiels d’aide à la prescription d’activité physique par pathologie pour  : le surpoids et l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension artérielle (HTA), la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la maladie coronaire stable et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

 

L’Observatoire de l’économie du sport se penche sur l’innovation

Roxana Maracineanu obtient des crédits supplémentaires

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La Ministre des Sports Roxana Maracineanu a obtenu à l’Assemblée Nationale, dans la nuit du 22 au 23 octobre 2018, une hausse de 15 millions d’euros du plafond de la taxe « Buffet » dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2019.

Ces crédits supplémentaires affectés au budget du Ministère des sports permettront de déployer au total 55 millions d’euros de mesures nouvelles pour accompagner la création de la future agence du sport.

A l’annonce du PLF 2019, la ministre avait pris date pour l’examen des taxes affectées au secteur sportif afin de débattre de moyens supplémentaires pour financer des programmes visant à réduire les inégalités territoriales d’accès à la pratique sportive. Ce lundi 22 octobre, Roxana Maracineanu était présente aux côtés du ministre de l’Action et des Comptes Publics, Gérald Darmanin au banc de l’Assemblée Nationale pour soutenir l’amendement gouvernemental relevant de 15 M€ le plafond de la taxe « Buffet ».

En préambule, la Ministre a rappelé devant les parlementaires le souhait du Président de la République de réformer l’organisation du sport en France en accordant davantage d’autonomie à ses acteurs, notamment via la création d’une agence qui les rassemblera. Pour financer cet outil, la ministre a préalablement défendu à l’Assemblée Nationale un amendement visant à transférer les taxes affectées du CNDS vers cette nouvelle agence. Puis Roxana Maracineanu a proposé aux députés de réviser à la hausse le plafond de la taxe « Buffet » de manière à dégager 15 M€ supplémentaires. Ces propositions ont été votées à la majorité par les parlementaires ce lundi 22 octobre.

A l’arrivée, selon le ministère, ce sont donc 55 M€ de mesures nouvelles qui seront investis pour cette transformation: 

+ 25 M€ pour la haute performance , afin de renforcer les moyens alloués aux fédérations et au mouvement sportif dans le cadre de la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques pour atteindre un total de 88 M€

+ 30 M€ pour le développement des pratiques sportives  pour réduire les inégalités d’accès à la pratique sportive sur les territoires carencés, soutenir le plan « savoir nager » et encourager des pratiques émergentes. Hors restes à payer du CNDS, le budget 2019 du ministère des Sports sera hausse de plus de 11 M€ par rapport à 2017, année référence pour le ministère des Sports.

 

Le Crédit agricole officiellement fan des Bleues pour 2019

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Le Crédit Agricole devient Supporter national de la Coupe du Monde féminine de la Fifa, qui se tiendra pour la première fois en France du 7 juin au 7 juillet 2019 dans neuf villes hôtes.

Le Crédit Agricole rejoint Arkema et la SNCF, au rang de Supporter national de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2019, France 2019. En apportant son soutien à la plus grande compétition féminine unidisciplinaire au monde, le Crédit Agricole renforce son engagement en faveur du football féminin. En outre, ce partenariat lui permettra de bénéficier d’une exposition importante avant et pendant la compétition ainsi que de formules de billetterie et d’hospitalité et de pouvoir utiliser certaines marques et du contenu audiovisuel de la FIFA. Pour Noël Le Graët, président du Comité d’organisation et de la FFF, « le Crédit Agricole est un partenaire fidèle au football et à son développement. Depuis plus de quarante ans, il accompagne la Fédération Française de Football et c’est, en toute logique et avec beaucoup de fierté, que nous l’accueillons parmi les Supporters nationaux de la prochaine Coupe du Monde Féminine de la FIFA qui se jouera en France en 2019.  Son implication constante dans le développement du football féminin et sa proximité avec le public local seront des atouts majeurs pour la réussite de cette compétition. » Pour Bertrand Corbeau, directeur général adjoint de Crédit Agricole SA, « cette compétition démontrera une nouvelle fois que le football est un formidable vecteur de lien social, de mixité et d’égalité des chances – des valeurs chères au Crédit Agricole et que nous défendons dans l’ensemble de nos territoires via notre approche du sport comme école de la vie. »

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