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Under Armour réduit ses effectifs


Odlo nouveau partenaire officiel de la SaintéLyon

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La marque de vêtements et sous-vêtements technique s’associe au raid nocturne, dont la la 65ème édition aura lieu les 1er  et 2 décembre 2018.

« C’est une opportunité formidable de s’associer à la doyenne et plus mythique des courses nature en France, dont les valeurs et l’ADN correspondent parfaitement à l’identité d’Odlo, explique Cédric Georges, directeur d’Odlo France. C’est également l’occasion de faire connaître aux coureurs passionnés et engagés toute notre expertise dans la conception de vêtements parfaitement adaptés à la pratique du running en hiver, même par les conditions les plus froides et en pleine nuit. »La SaintéLyon 2018 propose le plus long tracé de son histoire avec un grand parcours de 81 km comportant des portions inédites. Pas moins de 17 000 participants prendront le départ en solo ou en relais à travers sept formats de course nocturne et hivernale entre Saint Etienne et Lyon.

 

 

 

Le Comité olympique lance la pétition “Le sport compte”

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Le Comité national olympique et sportif français (CNSOF) lance officiellement ce vendredi 20 septembre à midi la pétition “#Le sport compte”,  annoncée par Denis Masseglia, son président, le 4 septembre 2018. 

Celle-ci revendique un soutien financier à la hauteur des enjeux pour le sport français et mobilise notamment les quelque 180 000 associations sportives affiliées des 90 fédérations membres du CNOSF. Le texte de la pétition est volontairemnt court : “Sport pour tous, Tous pour le sport ! #LeSportCompte Nous, sportifs, dirigeants de clubs, bénévoles, passionnés, citoyens : Demandons que le sport bénéficie de moyens à hauteur de ses apports humains, économiques et sociétaux. Pour que le sport compte, je signe.” Il a été précédé de l’envoi d’une lettre de mobilisation à tous les clubs de sport qui expose notamment que ” le mouvement sportif français dans son ensemble a dû subir de plein fouet la diminution drastique des emplois aidés, ainsi que celle de la part territoriale du CNDS. Le désarroi ainsi créé aurait pu être effacé si les perspectives 2019 s’étaient annoncées plus souriantes. Pour autant, si les travaux sur la gouvernance du sport ont débouché sur un large consensus à l’idée de créer une Agence nationale associant équitablement Etat, collectivités territoriales et mouvement sportif, avec une participation du monde économique, le sport a du mal pour l’instant à être un enjeu pour la France.

 

 

 

 

 

Harmonie Mutuelle et ASO font équipe pour la santé des coureurs à pied

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Harmonie Mutuelle et Amaury Sport Organisation (ASO) ont conclu accord de naming du  Semi de Paris et des courses « Run In by Harmonie Mutuelle » et qui comporte un important volet de prévention santé et d’inclusion sociale.

Les participants seront ainsi accompagnés, de l’inscription jusqu’au jour de la course. Cela se traduira par l’organisation de séances d’entraînement en amont des courses, de challenges connectés via les applications dédiées aux courses mais aussi par la mise à disposition de contenus prévention et de conseils d’experts autour de l’alimentation, la préparation physique et mentale, la récupération ou encore l’équipement.

Promouvoir la “course à pied pour tous”

Ce nouveau partenariat déclinera aussi différentes initiatives visant à encourager l’égalité hommes-femmes et l’inclusion. Actuellement, le Semi-Marathon et l’ensemble des courses « Run in » rassemblent 115 000 runners au total, dont seulement 37 % de femmes. L’objectif est d’accroitre progressivement ce chiffre en sensibilisant les femmes à ce sport. Par ailleurs, promouvoir l’intégration des athlètes en situation de handicap et le développement de la course à pied pour tous fait partie des enjeux de partenariat de la mutuelle. Les athlètes handisports sont invités à participer aux courses pour démontrer que le handicap n’est pas un frein à la performance.

Des animations de prévention

Enfin, Harmonie Mutuelle souhaite intégrer un important volet caritatif aux opérations qui seront menées sur l’ensemble des courses. Elle sera également présente sur les villages partenaires de tous ces événements et proposera des animations de prévention. Les élus et collaborateurs d’Harmonie Mutuelle sont invités à courir. La mutuelle propose déjà à ses collaborateurs des actions de prévention au travers de ses comités bien-être.

La start-up française Runnin’City soutenue par Asics dans le cadre d’un programme d’innovation

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Le fabricant japonais d’articles de sport Asics soutient cinq entreprises innovantes dans le cadre de son programme « Tenkan-Ten », une expression japonaise pour « point de basculement », issu de sa nouvelle division Business and Innovation.

Parmi les heureuses élues figurent une start-up française, Runnin’City : créée à Lyon en 2016 par deux sportifs passionnés, Olivier Lebleu et Christophe Minodier, celle-ci propose une application de “running touristique” qui permet aux utilisateurs d’explorer les villes en courant, guidés par un GPS vocal. Les quatre autres sont : la canadienne Curv Labs, qui a créé un logiciel d’intelligence artificielle qui permet à tous les sportifs d’utiliser la caméra de leur mobile en outil de diagnostic de leurs mouvements ; A-Champs, une société états-unienne qui a mis au point un concept d’objets connectés qui incite les enfants de jouer en mouvement ; Entrenarme, une entreprise espagnole qui a créé une application qui permet aux pratiquants d’activités sportives de trouver leur coach et salle de sport à proximité ; et enfin, la société suisse Pyrates, qui utilise une “fibre active naturelle” exclusive pour produire des vêtements streetwear performants.

Un programme financier et sportif

Chaque projet recevra une aide de 30 000 euros et la possibilité d’entrer directement en relation avec les cadres supérieurs d’Asics, notamment Alistair Cameron (PDG d’Asics EMEA), Carsten Unbehaun (PDG de Haglöfs) et Dan Smith (président et directeur général d’Asics Digital) ). Le programme de démarrage durera quatre mois, de septembre 2018 à janvier 2019, chaque entreprise travaillant directement depuis le centre d’innovation Asics au cœur de Barcelone, en Espagne. Parallèlement à cela, les entrepreneurs bénéficieront de séances d’entraînements personnels et des programmes de nutrition. Après la première phase de quatre mois, le  programme Asics Alumni prendra le relais par le biais des partenariats de la marque japonais avec l’Agence catalane d’investissement, Barcelona Tech City et le Global Sports Innovation Center de Microsoft.

Loi de finances 2019 : le ministère des Sports fait ses comptes

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Malgré une baisse de 30 millions d’euros de ses crédits de fonctionnement dans le projet de loi de Finances, le ministère des Sports affirme que son budget “sera préservé en 2019 par rapport à 2018”. Décryptage, sur fond de mobilisation du mouvement sportif.

Le projet de loi de Finances 2019 prévoit un budget de 516 millions d’euros pour le ministère des Sports, dont 65 M€ pour Solidéo, la Société de livraison des équipements olympiques qui porte les investissements dans les infrastructures de Paris 2024. Le budget de fonctionnement proprement dit passe donc de 481 M€ à 451 M€. Malgré cette baisse de 30 millions d’euros annoncée – contre laquelle le mouvement sportif a lancé la pétition #LeSportCompte – le le secrétariat presse de Roxana Maracineanu, la nouvelle ministre de Sports, affirme que le ministère ” aura les moyens de ses ambitions pour favoriser la haute performance et le développement des pratiques ” et annonce même ” 40 M€ supplémentaires dirigés vers la haute performance et le développement des pratiques sportives”. Explications du ministère : d’une part, “la part des cotisations prévues dans le PLF 2018 pour régler les cotisations salariales des arbitres avait été largement surévaluée. 10 M€ de crédits auraient ainsi été dégagés pour financer de nouvelles mesures d’interventions, auxquels s’ajoutent 30 M€ supplémentaire de redéploiement (lissage des dépenses sur les grands événements et fin de programmes d’investissement). ” Ces ressources permettraient de dégager 25 M€ pour les fédérations et le mouvement sportif “ dans le cadre des de la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques “. Les crédits affectés au haut niveau (aide aux bourses pour les sportifs, formation des entraîneurs, financement de matériel…) atteindraient ainsi 88 M€ en 2019.

25 M€ pour le développement des pratiques

Une quinzaine de millions d’euros seraient par ailleurs affectés “des mesures nouvelles en faveur de la réduction des inégalités d’accès à la pratique sportive sur les territoires carencés, notamment en faveur du renforcement du “savoir nager”. Des crédits qui tomberaient ainsi dans l’escarcelle de la future Agence nationale du sport. ” Dernier point, le ministère ajoute que ” les discussions se pousuivent afin d’obtenir des financements supplémentaires pour le développement des pratiques “, financement qui seraient “fléchés” vers le soutien à des programmes émergents comme le sport santé. Une formule  qui semble ouvrir la porte à la discussion sur un éventuel déplafonnement des taxes affectées au sport, prélevées sur les mises à la FDJ, les paris en ligne et les retransmissions audiovisuelles du sport.

 

La fédération française de ski crée un club d’entreprises mécènes

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Lancement du Club Premium avec le snowboarder Pierre Vaultier, le 23 septembre 2018, au Groupama Stadium de Lyon, en avant match OL – OM. 

En partenariat avec la Caisse d’Épargne Rhône Alpes, la Fédération française de ski (FFS) vient de lancer un “Club Premium” à l’intention des entreprises de toutes tailles qui souhaitent soutenir les grands projets de la FFS dans le domaine du sport de haut niveau et du développement de nouvelles disciplines.

Les membres du club pourront ainsi bénéficier d’un programme national d’animation, accéder au réseau de sportifs, ambassadeurs et partenaires de la FFS, participer à des événements (Coupe du Monde de Ski, FFS Golf Trophy, etc.) et pourront utiliser certains éléments de communication de la FFS en fonction de leur tarif d’adhésion. Trois tarifs ont été établis (4 000 €, 7 000 €, 10 000 €), qui peuvent donner lieu à des crédit d’impôt sous le régime du mécénat. Le Club pourrait compter à terme


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Textile et chaussures de sport, un marché tiré par le streetwear

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Les achats de vêtements et chaussures de sport ont progressé d’un milliard d’euros en cinq ans en France, contrastant avec l’atonie du marché du textile-habillement qui est resté stable, selon une étude Kantar Worldpanel dévoilée au cours d’une journée Ispo Academy France, le 14 septembre dernier à Paris.


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Ryder Cup : un héritage à consolider pour le golf français

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La Fédération française de golf (ffgolf) n’a pas mesuré ses efforts pour créer une dynamique positive autour de la Ryder Cup, plus grande compétition mondiale de golf, qui se tient pour la première fois en France, du 28 au 31 septembre 2018. Promesse tenue sur le plan économique mais bilan nuancé en termes de popularisation de cette discipline.

Quelque 300 000 spectateurs sont attendus tout au long de cette semaine (qui a en fait démarré lundi dernier avec la Junior Ryder Cup pour les moins de 18 ans) au Golf national de Saint-Quentin en Yvelines, où les équipes d’Europe et des Etats-Unis disputeront la Ryder Cup. Le budget de l’événement s’établit à 23,7 millions d’euros, les retombées économiques indirectes sur l’économie françaises sont évaluées à 226 millions d’euros. Mais au delà de l’impact immédiat de la compétition, la ffgolf s’est attachée dès la phase de candidature à en maximiser « l’héritage » en développant aussi bien la « filière golf » que le nombre de ses pratiquants.

De nouveaux parcours plus accessibles

Elle a ainsi notamment adopté en 2007 un « schéma directeur de développement » d’infrastructures, qui a abouti à la création de 98 nouveaux parcours de proximité en dix ans (sur un total de 732 en France). Objectif : « rendre le golf plus accessible », en termes de pratique et de tarifs, pour séduire une nouvelle clientèle… Ces nouveaux parcours ont mobilisé un investissement cumulé de 65 millions d’euros. Ils ont d’ores et déjà permis de recruter 17 000 nouveaux joueurs sur la période 2007 – 2017, soit 80 000 licences délivrées, selon la ffgolf. Leur développement se poursuivra avec, en projet, 150 équipements supplémentaires dans les années qui viennent.

 Un effectif de licenciés qui ne progresse plus

Avec 410 000 licenciés en 2017, la France n’est toutefois que le 11è pays du monde en nombre de licenciés. Et l’effectif ne progresse plus depuis trois ans : il a connu un pic à 422 000 licenciés en 2012 avant de se stabiliser à un niveau 2017 presqu’équivalent à celui de l’an 2000… En cause : l’absence d’athlète français emblématique et la faible médiatisation d’une d’une discipline qui ne mobilise que 3 % du temps d’antenne des grands médias. « Ce sport doit être mieux exposé pour passer du  statut de sport d’élite à celui de sport de masse, commente Christophe Munesia, directeur général délégué de la ffgolf. Nous sommes sur une transition intéressante en termes de conversion de nouveaux publics. Il est évident que nous aurons besoin de nouveaux champions français, mais avec ou sans eux, l’écho médiatique de la Ryder Cup sera fort ».

Une filière qui reste dynamique

Soulignant que le golf a connu une baisse du nombre de ses pratiquants dans l’ensemble des pays matures (Royaume-Uni, Etats-Unis, Suède…), Jean-Lou Charon, président de la ffgolf, considère pour sa part que « la France a fait mieux que tenir le choc. Elle ne le doit pas au hasard, tant la dynamique enclenchée par la Ryder Cup est a été contributive en termes d’ouverture et d’accessibilité à la pratique. Je suis convaincu que les nombreuses actions de développement permettront de retrouver le chemin d’une croissance plus soutenue. » Un espoir partagé par l’ensemble des acteurs de la filière golf qui, forte 1,5 milliard d’euros de retombées économiques et de près de 9 000 emplois (dont plus de 200 M€ et 900 emplois pour le matériel et l’équipement des golfeurs), a vu son activité progresser assez faiblement (+ 4 %) ces dernières années, selon une étude de la société de conseil EY. Ce dernier désignent trois leviers de croissance potentiels : le tourisme « golfique », les grands événements, les liens avec les entreprises et le digital.

O.C.

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DIAPORAMA : Extraits de  l’étude Le Golf et moi

Renaud Carles (Golf Plus) : « il nous manque un grand joueur français charismatique »

 

Renaud Carles (Golf Plus) : « il nous manque un grand joueur français charismatique »

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Renaud Carles, directeur marketing de Golf Plus

A la veille de l’ouverture de la Ryder Cup, seule compétition internationale de golf par équipes, qui se déroule pour la première fois en France cette année, Renaud Carles, directeur marketing de l’enseigne Golf Plus, confie à Filièresport son témoignage sur l’impact commercial de cet événement.

Filièresport : Vos magasins ont-ils déjà commencé à ressentir un « effet Ryder Cup » ?

Renaud Carles : Oui mais il reste encore faible. Nous espérons qu’il soit le plus important possible. La compétition sera diffusée sur Canal+,  dont cinq heures en clair. Les Français sauront-ils qu’ils pourront les voir sans abonnement ? Je suis d’accord avec Christophe Muniesa (le délégué général de la fédération française de golf (ffgolf), NDLR) quand il reproche à France Télévision de ne pas jouer le jeu. La Ryder Cup est le troisième événement sportif mondial mais pour qu’elle ait un effet sur la pratique, il faudrait qu’un grand média public le retransmette…

Dans le cadre de sa candidature comme pays hôte, la ffgolf a multiplié les actions pour rendre le golf plus accessible. Y a-t-il eu un effet sur le renouvellement de votre clientèle ?

Nous avons nous-même fait notre part du travail depuis sept-huit ans en créant un package spécial débutant à notre marque Greens, une demi série pour 159 €  remboursable sans discussion au bout de trois mois si l’acheteur ne veut pas continuer et qui peut faire l’objet d’une reprise au prix d’achat après un an en cas d’acquisition d’une série complète. Lorsqu’ils se lancent, les débutants se posent trois questions : où aller jouer, quels sont les tarifs de cours et d’abonnement et quel est le coût de  l’équipement. Ils regardent sur internet et se font un budget… Notre package permet de lever quelques freins. Ils se vend bien pendant les périodes d’équipement – juin-juillet et septembre – à condition d’être mis en avant sur notre site internet. Mais il n’y a pas eu, là encore, d’effet Ryder Cup. L’essentiel se jouera probablement après.

Que faudrait-il pour que la France devienne un véritable pays de golf ?

Depuis que la France a été désignée comme pays hôte de la Ryder Cup, l’écosystème du golf français a évolué. Il est rassurant de voir les nombreux jeunes prendre du plaisir sur les greens, encouragés par des méthodes d’enseignement plus ludiques, qui se sont adaptées à leurs attentes. Mais le fait qu’il n’y ait pas de Français dans l’équipe européenne de Ryder Cup est une grande déception… Lorsque l’on voit comment Tiger Woods déplace encore les foules, on se dit qu’il nous faudrait un joueur français très fédérateur !

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DIAPORAMA : extraits de l’étude Le Golf et moi

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L’Union sport & cycle a réalisé en partenariat avec la ffgolf une étude de la consommation des licenciés de golf, dont Filièresport publie ici les principaux extraits.

 

 

SONDAGE : le sport en entreprise minoritaire mais plébiscité

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Un panel représentatif de 1000 salariés et 300 dirigeants de France ont participé au baromètre Generali / OpinionWay pour le groupe de réflexion et d’action «Vitalité, Sport & Entreprise». Plébiscité par ceux qui l’ont adopté, le sport en entreprise présente un fort potentiel de développement.

 Selon ce sondage, un quart des salariés ont accès à une offre d’activité physique et sportive en entreprise, parmi lesquels 10 % pratiquent et 15 % ne sont pas intéressés. Parmi les salariés qui ne disposent pas d’une telle possibilité, 35 % aimeraient bien que leur employeur leur en propose. Minoritaire dans l’Hexagone, la pratique du sport en entreprise dispose donc d’un fort potentiel… À condition de convaincre les chefs d’entreprise de satisfaire cette attente : les trois-quarts d’entre eu ne l’envisagent pas !

Les dirigeants pro-sport sont unanimes

Pour autant, l’étude révèle de nombreux arguments favorables au développement du sport en entreprise, arguments que Bertrand Pulman, professeur de sociologie à la Sorbonne Paris Cité et à l’EHESS et coprésident de Vitalité, Sport & Entreprise, a synthétisés lors des rencontres sport bien-être en entreprise, ce jeudi 27 septembre 2018 à La Défense, en quatre points. En premier lieu, « les dirigeants d’entreprises engagés dans une démarche d’activités physiques et sportives sont satisfaits à 100 %, dont 65 % de très satisfaits : c’est l’argument le plus puissant qui soit pour convaincre ce qui ne le sont pas. »

Une possibilité plébiscitée par les salariés pratiquants

Deuxième enseignement, les salariés qui pratiquent le sport affichent le même contentement (94 % de taux de satisfaction). Attention, souligne toutefois l’enseignant, « l’idée que le sport est bon pour la santé ne vient pas au premier plan. Il faut donc faire très attention aux messages que l’on envoie et déployer d’autres arguments, comme par exemple des outils rétributifs sur les effets de la pratique d’activités physiques et sportives. »

Accompagner les entreprises réfractaires

Troisième enseignement : « il existe une importante marge de progression potentielle » puisque 75 % des entreprises françaises ne propose aucune activité physique et sportive à leurs salariés. Le manque d’infrastructures adéquates est le principal frein. « La mutualisation des équipements est une des pistes possibles », en déduit Bertrand Pulman. La perspective des JO de 2024, considérée par les dirigeants comme un levier de management et de communication par les dirigeants, pourraient les motiver à chercher des solutions.

Tenir compte des attentes des salariés

Enfin, le quatrième enseignement est que ce même potentiel existe aussi chez les salariés. Il y a une demande des salariés exclus du sport en entreprise. Quant à ceux qui disposent d’une offre au sein de leur entreprise, mais qui n’en font pas usage, leur premier argument est que les activités proposées ne leurs plaisent pas. « Dans ce cas, il est souhaitable d’élargir le type d’activités proposées, explique le professeur. Il est important d’interroger les salariés sur ce qu’ils souhaitent et de prendre des mesures pour les encourager ». Chez Generali par exemple, les salariés qui se fixent des objectifs d’amélioration de leur « capital santé » reçoivent des bons cadeaux de partenaires de l’assureur.

Cliquez ici pour visualiser la présentation du Baromètre

Vitalité, Sport et Entreprise

La loi Pacte réduit la période des soldes

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L’article 8 relatif à la durée des soldes a été adopté à l’Assemblée nationale. Les périodes de soldes seront réduites de 6 à 4 semaines et leurs modalités de fixation seront modifiées afin de concentrer les réductions de prix sur un temps plus court et ainsi de renforcer leur impact.

Un arrêté ministériel précisera le dispositif. « Les soldes sont un moment important de la vie française. En ce domaine, les intérêts sont très divergents entre les grands magasins, les petits commerçants et le commerce en ligne, mais le consensus est clair sur les quatre semaines », commente Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, dans un communiqué. Aujourd’hui, le résultat des soldes est en baisse. L’objectif est donner aux soldes, dont l’efficacité se réduit mais qui continuent de générer 21% du chiffre d’affaires dans l’habillement, un plus grand impact sur les consommateurs.

 

 

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Le premier salon du cycle et du triathlon aura lieu en 2019 à Paris

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Le premier Salon du cycle et du triathlon se tiendra du 15 au 17 mars 2019 au Paris Event Center (Porte de la Villette), e,n partenariat avec la FFC et l’Union sport & cycle. 

Sur un espace de 12 000 m2, l’événement espère rassembler principaux acteurs du secteur du cycle et du triathlon : marques, pratiquants, clubs, coaches, presse spécialisée… Plusieurs animations sont également prévues :

  • Un espace d’exposition organisé par univers pour faciliter la rencontre entre les exposants et les visiteurs
  • Un « Lab Center » pour présenter les dernières innovations technologiques du secteur.
  • Des conférences sur le thème de la nutrition, la santé, les problématiques liées à l’entraînement et l’équipement
  • Des Awards pour valoriser les meilleures initiatives en matière d’innovation et de développement durable.

Laurent Jalabert, ancien cycliste professionnel et désormais pratiquant de triathlon, est le parrain de cette première édition : « Je souhaite, par mon engagement, contribuer à la réussite de cet événement, en mettant en avant cette discipline méconnue et trop souvent passée sous silence. Je vais consacrer toute mon année 2018 à la pratique du triathlon et c’est une belle satisfaction que de pouvoir contribuer à l’essor de ce salon. » Le salon du cycle et du triathlon est actuellement à la recherche d’exposants. Cet événement est soutenu par la Fédération Française de Cyclisme (FFC), la Fédération Française de Triathlon (FFTRI) et l’Union Sport & Cycle.


Le Coq Sportif confirme son rétablissement

Objectif énergie 100 % renouvelable pour Decathlon

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panneaux solaires

A l’occasion de la Climate Week, qui s’est déroulée du 24 au 30 septembre 2018 dans la ville de New York, le leader européen de la distribution d’articles de sport a annoncé son adhésion à l’initiative mondiale RE100. Celle-ci réunit 144 entreprises engagées à utiliser de l’électricité d’origine renouvelable afin d’accélérer le passage à une économie à faible émission de carbone.

Decathlon s’engage ainsi à s’approvisionner à 100 % en électricité provenant de sources renouvelables d’ici 2026 grâce à la production et à l’achat d’énergie renouvelable. L’engagement couvre l’ensemble des sites commerciaux et logistiques de Decathlon à travers le monde. Le distributeur français, fondé en 1976, est présent en ligne et en magasin dans 51 pays avec plus de 1400 magasins, dont 315 en France (au 30/6/2018).

Préserver l’environnement pour pérenniser la pratique sportive

Decathlon est le plus grand distributeur français à avoir rejoint l’initiative RE100. L’engagement concerne les sites dont Decathlon est propriétaire ainsi que locataire. Actuellement, 70% de sa consommation d’électricité est générée par la France, l’Espagne, l’Italie et la Chine. Certains sites bénéficient déjà d’une production solaire sur site en Europe et les premières installations en Chine et en Inde ont été réalisées cette année. Selon Emma Woolley, chef de projet “Energies renouvelables” de l’entreprise française, « cet engagement s’inscrit parfaitement dans la vision 2026 de notre entreprise, qui a été co-écrite avec nos coéquipiers et qui met l’accent sur la réduction de notre impact environnemental. En agissant pour lutter contre le changement climatique, nous contribuons à protéger l’environnement naturel des pratiquants de sport. Nous espérons que notre engagement inspirer des démarches similaires à d’autres entreprises. » L’entreprise vend principalement des articles de sport de ses propres marques et couvre plus de 70 sports.

Un club d’entreprises influentes

Menée par The Climate Group, une organisation à but non lucratif associant chef d’entreprises et dirigeants gouvernementaux, en partenariat avec CDP, un organisme d’analyse de la performance environnementale des entreprises et collectivités publiques, RE100 est une initiative internationale rassemblant les entreprises les plus influentes engagées pour une énergie 100% renouvelable. « En basculant ses activités mondiales vers de l’électricité 100 % renouvelable, Decathlon prouve à ses clients que le développement durable est au cœur de ses activités. C’est exactement le genre de leadership que nous avons besoin de voir pour réduire rapidement les émissions », commente Sam Kimmins, directeur de l’initiative RE100. Les membres du RE100, parmi lesquels figurent des sociétés du Global Fortune 500, totalisent un chiffre d’affaires de plus de 2,75 milliards de dollars US et opèrent dans un large éventail de secteurs – des technologies de l’information à la construction automobile. Leur objectif est d’envoyer un signal fort aux décideurs politiques et aux investisseurs, afin d’accélérer la transition vers une économie à faible émission de carbone.

 

La France accueillera les Championnats du Monde de VTT en 2022

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David Lappartient, président de l’UCI et Michel Callot, président de la FFC

La Fédération Française de Cyclisme (FFC) et la station des Gets (Haute-Savoie) organiseront les Championnats du Monde VTT UCI 2022, point d’orgue d’une série de compétitions internationales obtenues par la FFC dans la perspective des JO de 2024.

En marge des Championnats du Monde “route” 2018, l’Union cycliste internationale (UCI) a officialisé l’attribution à la France de plusieurs manches de la Coupe du Monde de VTT à partir de 2019. Les Gets, accueilleront à nouveau le championnat du monde, 18 ans après le couronnement de Julien Absalon. La compétition, qui se déroulera du 24 au 28 août 2022, sera le point d’orgue d’une longue série d’événéments organisés en France à partir de l’an prochain : manches de Coupes du Monde de VTT sur trois saisons (13-14 juillet 2019 : Coupes du Monde de descente et XCO ; 19-20 septembre 2020 : finales Coupes du Monde Descente et XCO ; 2021 : finales des Coupes du Monde de Descente et XCO). L’UCI a également renouvelé sa confiance à la FFC, en lui attribuant de nouveau l’organisation de deux manches de la Coupe du Monde BMX en 2019.

La Ligue de volley filmera les matchs au plus près du terrain

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La Ligue nationale de volley (LNV) vient de franchir une étape importante concernant la production et la diffusion de ses matchs en direct, par le biais d’un nouveau partenariat de deux ans avec Oppia Performance et Sportradar.

La Ligue Nationale de Volley a choisi d’équiper l’ensemble de ses clubs d’un nouveau système de captation d’images dans le but de donner, sans aucun doute, une nouvelle envergure au Volley Pro français. Oppia Performance mettra en effet à la disposition de l’ensemble des clubs de Ligue A Féminine et de Ligue B Masculine une caméra mobile placée dans l’axe du filet, pour une expérience spectateur optimisée et plus qualitative par rapport à l’installation précédente. Les clubs de Ligue A Masculine, seront quant à eux équipés de trois caméras mobiles et automatisées, placées de part et d’autre du terrain, ainsi que dans l’axe du filet. En complément de ces nouvelles installations, les images du Challenge vidéo, le système vidéo d’aide à l’arbitrage de la discipline, seront insérées à la vidéo et de nombreux clubs sauteront le pas en instaurant des commentaires en direct. « Nous pensons que c’est le moment idéal pour proposer une telle nouveauté et nous espérons que le public appréciera, notre objectif étant d’équiper très rapidement toutes les divisions du système à trois caméras  », déclare Alain Griguer, Président de la Ligue Nationale de Volley.

Lancement de LNV TV

Afin d’accompagner cette évolution majeure et de promouvoir ces nouvelles images, la Ligue Nationale de Volley a confié à Sportradar la création d’une Web TV dédiée : LNV TV. Cette nouvelle plateforme proposera l’ensemble des matchs, en direct et en rediffusion, avec une qualité de production considérablement améliorée, en France et à l’étranger. Afin d’accéder à cette nouvelle plateforme et profiter ainsi de l’intégralité du Volley Pro français, il sera nécessaire de souscrire un abonnement mensuel ou annuel. Pour 49,99€, soit près de 7€ par mois, il sera possible de visionner toute la saison 2018/2019 en Live et en exclusivité pour l’ensemble des trois divisions professionnelles (LAM, LAF et LBM). Les fans de Volley Pro pourront également revivre les émotions des saisons précédentes puisque l’intégralité des matchs sera mise à leur disposition en libre accès. « Cette nouvelle Web TV est un pari, mais elle s’inscrit dans la continuité du travail effectué sur la production des images. La France est le deuxième pays en termes d’abonnés à la chaîne mise en place par la FIVB à l’occasion de la Volley Ball Nations League. Nous pensons que notre public est prêt à franchir ce cap », commente Alain Griguer.

Un trentenaire à la présidence des Domaines skiables de France

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Alexandre Maulin (Domaines skiables de France)

A l’occasion de leur 80ème Congrès, qui se déroule à Paris – La Défense, l’assemblée générale des Domaines skiables de France (DSF) a élu, lundi 1er octobre, son nouveau président : Alexandre Maulin. Ce dernier, PDG du groupe Maulin.ski, succède à Pierre Lestas.

Désigné, en juin dernier par les 14 membres du comité directeur deDSF, parmi 3 candidats, Alexandre Maulin, 37 ans, a présenté son équipe, à l’occasion du congrès. Le bureau sera composé de Pascal Tournier en qualité de président délégué et de Jean Yves Remy en qualité de trésorier. Président de la commission Pistes & Environnement de DSF, lors de la précédente mandature, Alexandre Maulin a toujours eu à cœur de s’impliquer dans la vie et l’animation du syndicat professionnel. « Dans trente ans, je ferai encore partie de cette profession, et j’ai envie de m’investir en elle, de donner de moi-même. J’ai envie de mettre à profit mon énergie à revendre pour défendre les dossiers qui le nécessiteront. C’est une mission importante et un vrai challenge que de succéder à Pierre Lestas », déclare le nouveau président. Actuellement PDG du groupe familial Maulin.ski, qui opère en Savoie dans les Sybelles (Le Corbier, Saint-Jean et Saint-Sorlin-d’Arves) et dans le Dévoluy (Hautes-Alpes), Alexandre Maulin possède une expérience complète en station. Pisteur-secouriste, puis monteur, il a ensuite occupé les fonctions de directeur opérationnel de la Satvac1 et de la Samso2 pour le groupe Maulin Montagne Participations, avant d’en prendre la direction générale. Les objectifs de cette nouvelle page de DSF sont d’asseoir un modèle économique stable pour tous les exploitants, d’œuvrer pour un rééquilibrage de la dérive réglementaire et d’agir davantage sur le renouvellement de la clientèle, enjeux décisifs pour l’économie de la montagne, comme le confirme bilan de la saison d’hiver 2017-18, marqué par un rebond de la fréquentation qui n’efface pas la maturité du marché français.

Lire également : La fréquentation des stations de ski a rebondi l’an dernier

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